Venise et moi on s'est rencontré, deux nuits
Quand je t'ai vu la première fois
Je suis tombé en amour avec ces folies
J'ai cru que le prince charmant serait en tombola
Mais quelle crue des eaux, et ces gondoles
Qui contournent ces rues et sillonnent doucement
J'ai vu que le pont des soupirs, ce n'est pas que rigole
Venise que tu me charmes avec ce temps différent
ô Venise, tu as ébloui ma vue
Lors de ce destin qui me mena à toi
Dans ce lointain pays d'eau et de crues
Ville envahie par les touristes, qui ressemble à une toile
ô Venise, de cette eau de couleur divine
Quand je vois voguer ces gondoles
Emportant les mariés vers le pont des soupirs
Espèrent que l'amour ne sera pas frivole
ô Venise, toi qui es si sublime à regarder
De ton histoire, comme dans les films dont je rêvais
Tu étais dans mes livres que je feuilletais enfant et que j'ai rangés
Dans mon coffre de bois, que je garde avec mes jouets
Venise, tu es la ville la plus majestueuse que j'ai regardée
Si je pouvais y retourner seulement quelques heures
Je pense que je serais la plus heureuse de la soirée
Seulement pour porter un masque et regarder tes mœurs
ô Venise !
Christine P.
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